logement idéal

Ce projet nous a poussés à questionner le programme lui-même, à en redéfinir le sens sans nous appuyer sur un site ou une situation concrète. Re-questionner le programme pour en faire de l’architecture, commencer par interroger les besoins fondamentaux du corps : manger, se reposer, se réunir, travailler, méditer, stocker…
À partir de ces usages élémentaires, j’ai tenté d’imaginer des formes spatiales en lien avec des ambiances : comment la lumière, l’air, la matière ou même le cadrage d’une vue peuvent contribuer à créer des lieux adaptés à ces gestes du quotidien. Sans données de contexte, ce travail est devenu une recherche presque abstraite, mais très sensible, sur ce que peut être l’espace architectural lorsqu’on le conçoit à partir du corps, de l’expérience, et non d’un programme figé.





