Cette étude menée dans le quartier Latin du Vieux-Québec s’inscrit dans une volonté d’allier regard architectural et lecture sociologique du territoire.

À travers des outils variés – dessin à main levée, cartes, photographies, vidéos, récits – le travail engage une observation fine du réel, en prenant le temps de l’écoute et de l’immersion.
Il ne s’agit pas seulement de représenter, mais de comprendre : les usages, les tensions, les attachements, et parfois les oublis dans la fabrication de la ville.

L’objectif était d’aller à la rencontre de celles et ceux que l’urbanisme met souvent de côté, pour mieux penser une architecture à l’échelle des vies ordinaires.